courtney crangi coco mothers day garance dore photos

9 years ago by

Il y a une chose que j’aime plus que tout à New York, c’est la liberté de construire sa vie comme on l’entend.

Je me souviens, au moment de ma rupture, à 39 ans, je me demandais ce que la vie allait me réserver – je n’ai jamais eu d’idées très définies de la famille que j’avais envie de fonder, mais ce que je savais, c’est qu’un jour, je voudrais une famille. Rompre, c’était peut-être aussi rompre avec l’idée d’une famille traditionnelle. Que me réservait le futur ?

Et surtout, avais-je le pouvoir de décider de fonder une famille, avec ou sans homme à mes côtés ? Avais-je le droit de me poser ces questions ? C’était très flou. Il a fallu accepter l’inconnu pour avancer, mais aussi, et tout simplement, ouvrir les yeux, et regarder autour de moi, mes amies qui avaient choisi de fonder des familles à leur façon.

Pour cette fête des mères (c’est dimanche aux Etats-Unis !!!) j’ai décidé de célébrer ça avec des femmes inspirantes, géniales, qui ont fondé des familles à leur façon, classique ou pas. Ces femmes sont mes amies, et leurs familles sont fantastiques. Et elles me montrent tous les jours que ce qui compte, ce n’est rien d’autre que l’envie et l’amour.

courtney crangi coco mothers day garance dore photos

Courtney & Coco

Fondatrice et associée, Giles & Brother.

Comment as-tu fondé une famille ?

Quand j’ai rencontré mon ex, Sheri, elle avait déjà deux garçons, Casey, 3 ans et Ryan, 10 ans. J’avais 27 ans. J’ai eu Coco à 35 ans. On s’est séparées deux ans plus tard, après 10 ans ensemble. J’ai commencé à sortir avec ma compagne actuelle, Jenna, et on ne s’est pas quittées depuis. Elle a un adorable petit garçon de 8 ans, Beckett. Coco et Beckett on juste un mois d’écart. On vit tous les quatre ensemble.

Tu peux nous parler de ton parcours pour devenir mère ?

On a eu recours à un don de sperme… d’ailleurs trouver le donneur qui convient, parcourir une base de données, c’est complètement surréaliste. Le plus important pour moi, c’était de trouver un donneur qui accepte d’être contacté plus tard. C’est important que Coco puisse retrouver sa filiation biologique… Je me suis dit que si elle avait mon caractère, elle aurait envie de savoir et ne comprendrait pas qu’on lui refuse cette information.

C’est important de beaucoup en parler pour pouvoir aider ceux qui vivent la même chose et dédramatiser, démystifier le sujet en général.

Qu’allez-vous faire pour la Fête des Mères ?

Ça va être une journée vraiment spéciale. Jenna et moi passerons la journée avec nos deux mères ainsi que Coco et Beckett. Ma mère considère les deux petits comme ses petits-enfants. A travers sa relation avec eux, je la redécouvre sous un autre jour. C’est un cadeau précieux.

Quand t’es-tu vraiment sentie mère ?

A l’hôpital, la nuit où j’ai accouché de Coco. Une infirmière est arrivée dans ma chambre en poussant le petit couffin de Coco, elle m’a crié : « Allez, debout, votre bébé pleure ! » Elle a laissé Coco à l’entrée de la chambre et a rajouté : « Debout, allumez la lumière, non mais qu’est-ce que vous croyez, c’est vous qui avez décidé d’allaiter ! ». Elle est partie et c’est à ce moment-là que j’ai décidé que la vie serait formidable. Je me suis mise à rire, j’ai traversé la chambre et j’ai pris ma fille dans mes bras. Je m’en suis occupée toute la nuit.

L’expérience de la maternité, ça a été comment, jusqu’à présent ?

Euh… un peu comme des montagnes russes. Franchement pas évident, mais l’expérience la plus gratifiante que j’aie jamais vécue.

Les défis les plus difficiles à relever ?

Avec Sheri, on s’est séparées quand Coco avait 4 ans. Avec Coco, on a déménagé quatre fois en quatre ans. C’est une petite fille incroyablement gentille, compréhensive et joyeuse, qui était en même temps confrontée à des changements dans sa vie de petite fille : l’entrée à l’école, la découverte de la vie en société … tout ça à un moment où elle n’avait pas encore les mots ou la maturité nécessaire pour exprimer ce qu’elle traversait. Coco et moi, on a toutes les deux été diagnostiquées dyslexiques.

La leçon la plus étrange ?

Comprendre que toute la vie, au quotidien, pouvait et devait être remplie de joie.

La réalité a-t-elle dépassé tes attentes ?

Je suis complétement bluffée par l’amour immense que je ressens pour mes enfants. C’est indescriptible.

Dirais-tu que tu es une mère conventionnelle ?

Haha, je crois que je n’ai même pas besoin de répondre à cette question !

Et l’équilibre vie de mère/vie professionnelle ?

Je n’ai pas non plus une vie professionnelle classique. Je n’ai pas pu prendre de congé maternité. Coco m’accompagnait tous les jours au Studio. Je fais vraiment tout en famille… puisque avec mon frère Philip, on a monté notre boîte.

(ndlr : Les bijoux Giles & Brother, qu’on adore)

La notion de famille moderne évolue constamment. En quoi ta famille est-elle unique, et qu’est-ce que ça signifie pour toi en tant que mère et pour la dynamique de ton foyer ?

Notre dynamique se « modernise » de jour en jour… Je crois qu’on apprend tous à accepter et à respecter le choix des autres, il y a une plus grande compréhension des notions d’amour et de famille, je suis sûre que ça va contribuer à forger un monde tolérant.

Ton souvenir le plus drôle avec Coco ?

Juste après son deuxième anniversaire, elle n’a plus voulu quitter son costume d’alligator pendant un mois. Sa queue était tellement énorme que j’avais du mal à l’installer dans son siège-auto. Elle refusait de l’enlever, que ce soit pour aller chez des petits camarades, au zoo… elle faisait tout en costume d’alligator. Je le lavais au bout de deux-trois jours, et je le lui remettais automatiquement le lendemain matin. Un matin, je suis arrivée dans sa chambre pour le lui mettre et elle m’a regardée comme si j’étais folle. Elle m’a informée qu’à partir de maintenant, elle ne porterait plus que du rouge. On a mis trois heures avant de trouver une solution pour les chaussures.

courtney crangi coco mothers day garance dore photos

samira nasr lex mothers day garance dore photos

samira nasr lex mothers day garance dore photos

Samira & Lex

Directrice de la mode, ELLE.

Comment as-tu fondé une famille ?

Ma famille est née il y a presque deux ans, quand j’ai adopté mon fils. C’est quelque chose que j’avais toujours envisagé, puisque je ne ressentais pas le besoin de faire l’expérience de la grossesse, l’adoption m’a semblé une façon très naturelle de devenir mère.

Tu peux nous parler de ton cheminement pour devenir mère ?

Ça a été un processus plein d’amour et de respect. J’ai énormément de respect pour les pères et mères qui confient leur enfant à l’adoption à la naissance, ce n’est jamais une décision facile à prendre pour eux. On pense à tort qu’ils ne veulent pas l’enfant, mais c’est beaucoup plus complexe et profond que ça. Moi, je serai toujours reconnaissante : si j’ai une famille, c’est grâce à cette femme.

Quand est-ce que tu t’es dit : “Waouh, ça y est, je suis maman !” ?

J’étais à l’hôpital quand il est né. Je me suis sentie mère en le prenant dans les bras, il n’avait que quelques heures.

En quoi ta vie a-t-elle changé depuis ?

Ma vie a changé, bien au-delà de ce dont je pensais être capable ! J’essaie de passer le plus de temps avec lui, d’être là pour ma famille… Je sors moins qu’avant, je vois moins mes amis. C’est devenu ma priorité.

Qu’est-ce que ça veut dire, être mère, pour toi ? La réalité est-elle différente de ce que tu imaginais ?

C’est vraiment le plus difficile des boulots, mais aussi le plus beau cadeau, sans hésitation… C’est vraiment un immense honneur pour moi que l’univers m’ait donné la chance d’être la maman de ce petit être. On ressent tellement d’amour, c’est incroyable… on me l’avait dit, mais quand on le vit… c’est vraiment illimité.

Et qui dit beaucoup d’amour, dit beaucoup de responsabilités. Il faut se montrer à la hauteur.

Les découvertes les plus rigolotes que tu as faites en tant que mère ?

J’ai appris à lâcher prise. On prend un peu de recul sure les choses. Moi, j’essaie d’être plus patiente. Je découvre peu à peu le monde dans lequel j’ai envie de vivre.

Tut e considères comme une mère conventionnelle ? Et ces conventions sont-elles toujours d’actualité aujourd’hui ?

Je ne sais pas trop ce qu’est une mère normale ! Ma famille n’est pas conventionnelle, mais j’ajouterais qu’il n’y a pas une seule façon d’être parent.

Pourquoi trouves-tu ton expérience de la maternité lus difficile que d’autre ?

Je crois que c’est dur, parce qu’en fin de compte, je suis toute seule. Je peux demander de l’aide à ma mère, mais il n’y a pas de coparentalité. Les décisions me reviennent toujours. Mais le simple fait d’être parent, c’est vraiment difficile !

Pourquoi tu n’échangerais ton expérience de mère avec quiconque ?
 
Je suis la mère de Lex. C’est mon fils. Jamais je ne pourrais l’abandonner.

Ce qui rend ton approche de la parentalité unique ?

On démarre la journée en dansant ! C’est lui qui commence.

samira nasr lex mothers day garance dore photos

jennifer williams alyx mothers day garance dore photos

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Jenn & Alyx

Directrice commerciale, Alyx.

Tu peux nous parler de ton cheminement pour devenir mère ?
J’ai toujours voulu avoir des enfants. Matt et moi, on s’est fiancés, je suis tombée enceinte quelques mois plus tard, c’était le bon moment.

Tu es également la belle-mère de Cairo… comment est-ce que ça fonctionne entre vous deux ?
J’adore Cairo. C’est vraiment super qu’il soit là pour Alyx. En grandissant, c’est devenu un petit garçon intelligent, agréable, ouvert et sincère… ce qui est très rare chez un enfant de cet âge.

Tu vis à NY, mais en famille, vous allez à LA rendre visite à Cairo… raconte-nous.
Ces voyages, c’est l’aventure depuis qu’Alyx sait marcher. Elle trottine entre les fauteuils de l’avion en disant « Coucou » à tous les autres bébés. Dès qu’on arrive à LA, elle n’arrête pas de dire « RoRo », c’est comme ça qu’elle appelle Cairo !

Ce qu’il y a de plus gratifiant dans l’expérience de mère ?
Regarder Alyx et Cairo grandir. Je l’ai rencontré quand il avait 3 ans, et maintenant, il est à la maternelle. Alyx change tous les jours, la voir apprendre à parler, vouloir s’habiller toute seule… c’est très gratifiant.

Comment ta relation avec Cairo a-t-elle évolué avec le temps, surtout depuis qu’Alyx est née ?
Je crois que ça nous a beaucoup rapprochés, Cairo et moi. Cairo et Alyx ne se quittent pas des yeux, ils sont complètement accros l’un à l’autre ! Je le considère vraiment comme un fils, je fais de mon mieux pour être une bonne mère pour lui, comme je le fais avec Alyx.

Un moment spécial qu’ils partagent tous les deux ?
Alyx veut appeler RoRo tous les matins quand elle se lève. Quand on est à LA, Cairo va la voir dans son berceau pour s’assurer qu’elle va bien.

En quoi l’expérience de belle-mère est-elle différente de celle de mère ?
Les gens trouvent ça différent, mais c’est un peu la même chose, parce que je veux vraiment le meilleur pour les deux enfants. Je veux qu’ils soient heureux et en bonne santé !

 
Ce que tu préfères dans le fait d’être mère ?
Faire des câlins, que mon bébé crie « Maman ! » Et tout cet amour !! Les voir faire des chouettes trucs. Comment quand Cairo rentre de l’école avec ce qu’il a fait à l’école et qu’il a des étoiles dans les yeux… bref, j’aime tout !

jennifer williams alyx mothers day garance dore photos

(English)

Translated by Andrea Perdue.

80 comments

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  • There is no family model …there is love .
    Love is what makes everything possible!!
    with love
    Yael Guetta
    http://www.ftwwl.com

  • Thank you, thank you, thank you for celebrating these incredible women and their beautiful families. Sitting here with my own mom and my eleven month old son, reading about their journeys, and all of us have tears in our eyes. Well, me and my mom do. My son just wants to eat the laptop. Love, Marlene

  • Garance, le post est super, mais je relis ton accroche, et je suis frustrée que tu ne nous dises pas davantage ce que tu souhaites toi. Excuse moi et n’y vois aucune pression de ma part, c’est tellement intime ces questions, mais du coup c’était un tel parti pris d’en parler… sans parler de toi vraiment ;) Moi aussi je suis « tardive » sur la maternité, la famille, ces choses me demandent un cheminement plus long que pour les autres. J’espère que tu fais ton chemin. Bien à toi

  • A family is something private, so, it’s nobody else’s business, how a given family is formed, no matter if that family lives in NYC or elsewhere. I know that there are many people who have a lot to say on the subject, but – hey – it’s their problem :) I became a mom through adoption – a long story preceding this decision – and I just feel like a mom. I’ve been carrying a crying baby through sleepless nights, fussing over his first cold, celebrating his first teeth, first steps, first words. I get up when he calls « MOOOOOM! » from his bedroom, because he’s having a bad dream or just wants to tell me something important in the middle of the night. I take him for ice cream if he’s had a rough day in a preschool. Just things that a mom does :) 10 years before, when I found out that I wouldn’t be able to get pregnant, I thought it was the end of the world. It was not – it was just a start of a whole new life for me. A break up is a painful process, but – hey – you never know what is around the corner :)

  • This is just terrific! Love your honesty and love all the stories of becoming mum :)

  • well written and such an inspiration.
    as a new mom i can relate and can appreciate every mother’s journey.

    g, just you wait ;)

  • This is so beautiful! I love all these families and the freedom to choose your own one. I also know that one day I would like to start a family and this post is really inspiring!

  • Albertina 7 mai 2015, 10:19 / Répondre

    Hi Garance – I am crying after reading these beautiful inspiring stories. I had my darling twin girls aged 45, using a sperm donor after my relationship ended. It was the best thing I could have done! I cannot tell you how much joy my girls have brought to my life. It can be challenging being a lone parent, but it is something I have never regretted over the past two and a half years. Age isn’t important – it’s what’s in your heart and as you say, love is what matters. I have never know love like it. Thanks for being so honest – you will have your family if you want it. The photos are beautiful. I love your blog so much. Thank you.

  • Wonderful story.
    « I love most about New York, it’s the freedom to make your life whatever you want it to be. »
    It is very New York to think it is a very New York thing to have these options and freedom

    I am a French expat and I love the freedom to be a full time working and a mom and maybe next the CEO of my own start-up – not in New York.

    Boston, San Francisco where we the geeks live prefer these cities are not different. I will argue that for some careers offers much more freedom the way you described.

  • I love so much that you reached out to mom who became mothers in so many different ways – this is a beautiful post!

    Warm Regards,
    Alexandra
    http://www.littlewildheart.com

  • melissaleehealing 7 mai 2015, 10:26 / Répondre

    My kids are 16 1/2 and 21 now, so I cry a little when I read this, as I miss them and of course mid-life hormone changes make that even more intense… Having my kids, the first when I was 28 and the second at 32, was the best thing I ever did in my life, hands down…. I now am back to working and love it, but I never looked back when I stopped working at 26 right after my marriage and then my first came with in 2 years… I stayed home and gardened and raised my kids… They have been the joy and ease of my life…..

  • Caroline 7 mai 2015, 10:29 / Répondre

    Great post, thank you Garance!

  • Thank you for your honesty and directness, as always, Garance. You help me to not be afraid and keep curious outlook on things, ‘What life has in store for me?’

    I broke up twice in the past 6 months, both breakups were traumatic in their own way, and I feel like something is dead inside of me. Your posts make me feel like it will just take time to revive.

  • Mon D*** que ce post est…. touchant ! Merci Garance car chaque mère doute un peu un jour ou l’autre, chaque famille est différente, chaque chemin vaut la peine d’être découvert, chaque histoire à ses jolis mots… Merci beaucoup ce post m’a fait un bien fou !

  • Merci pour ce très beau billet et bonne fête à toutes les mamans!
    Tiens, cela me fait penser à la belle et joyeuse chanson « Plurielle » que les Brigitte ont écrites pour leurs mamans… à dédier nous toutes !
    Bisou

  • Sónia Gonçalves 7 mai 2015, 11:01 / Répondre

    Merci Garance, ici au Portugal la fête des Mères a été dimanche dernier donc tout a fait dans l’air du temps <3

    Être mère c'est vraiment ça: l'amour qu'on a pour nos enfants.

    Tellement beau de lire ces différentes histoires. Je trouve que cela nous aide a construire un monde plus ouvert, tolerant et respectueux.

    Et toi, tu en est où? ;-)

  • Clotilde 7 mai 2015, 11:06 / Répondre

    Très beau post, qui rabat le caquet à tous ces idiots que nous avons en France (et sans doute aussi ailleurs…), qui s’imaginent qu’il n’y a qu’une sorte de famille et qui, surtout, veulent imposer leur vision à tout le monde !

  • Bambi 7 mai 2015, 12:57

    Tout à fait!!! ;p

  • CATHERINE 3 juillet 2015, 5:22

    bien dit!!!

  • Caroline 7 mai 2015, 11:26 / Répondre

    Merci Garance pour ces différentes approches. Effectivement c’est bien de pouvoir avoir et se donner autant de possibilités. Mais l’âge quand même…j’ai quelques doutes. Est-ce qu’a 60 ans on aura toujours autant d’énergie alors que notre enfant n’aura que 20 ans ?

  • Bambi 7 mai 2015, 12:56

    Bien sûr que oui!
    Regarde les femmes de 60 ans autour de toi, elles sont tellement dynamiques, belles et ce sont particulièrement celles qui ont des enfants de 20 ans qui sont ouvertes d’esprit et jeunes!
    C’est très bisounours mais chacun fait comme il veut et peux, l’amour EST le plus important.
    Garance, tu seras sans aucun doute une merveilleuse maman pour la famille que tu construiras!

  • I *love* this! Normalizing « non-traditional » moms and families is so important – often websites/magazines do articles on the subject, the focus is warped and just emphasizes the « otherness ». Reading this (and seeing the photos!) was lovely. What a breath of fresh air to someone who’s own family is not like the others. I can relate to all of these women in different ways. Bravo!!!

  • Beautiful, thoughtful post. I loved reading all the stories and as well as the comments from your readers. Thank you for sharing this with us.
    http://www.interiormonologue.com

  • Alors là, merci pour cet article qui me parle pour tout plein de raisons! Vraiment un grand merci Garance!

  • Best job in the world I think: being a Mummy :)

    Bisous from France,
    Sand.
    http://www.taimemode-fashionblog.com

  • Courtney 7 mai 2015, 12:25 / Répondre

    This makes me so happy. I was my daughter’s only parent for 10 years before I met and married my partner.

    There are lots of different ways to mother. Moms, children, and communities all benefit when we make room for all the different ways of making families. xo

  • très joli post et très émouvant…

  • Lisa Walker 7 mai 2015, 12:36 / Répondre

    XO!

  • Mariateresa 7 mai 2015, 12:46 / Répondre

    Oui d’acord mais l’amour, en entendant le vrai amour, est si difficile à faire durer, il est ainsi doulourex se retrouver sens homme, ton homme, qui a préferée une autre, c’est une blessure qui ne passe pas e la solitude n’est pas une choix, c’est obligée…Depuis le cinquant ans pus…c’est impossible penser à l’amour! Les jeux sont faits e je suis au dehors!
    Bisou ici Bari!

  • Je vais jeter un froid… Parfois, ce n’est pas si évident d’aimer, je pense que des mères adoptives seront d’accord avec moi. Je pense aussi aux mères de grands prématurés, dont je fais partie, qui peuvent avoir une relation perturbée à leur enfant. Je donnerais cher pour pouvoir dire moi aussi mon amour inconditionnel pour mon enfant. J’ai déjà eu envie de jeter mon bb par la fenêtre dans des instants de désarroi et de fatigue extrêmes. Je ne crois pas me tromper en disant que beaucoup de mères ont traversé des moments similaires, peut-être pas aussi violents. Alors pourquoi toujours nous servir le même discours sur la maternité ? Pourquoi les mères entre elles, quand elles ne sont pas proches, essaient souvent d’entretenir l’illusion ? Tout cela génère énormément de frustrations, comme l’idéal de minceur et de jeunesse largement diffusé sur ce blog. ARRÊTONS DE TOUT IDEALISER !

  • TOUT A FAIT !

  • Laura 8 mai 2015, 5:53

    Je suis d’accord avec vous mais je pense que ce n’est pas le sujet de ce post qui vise plutôt à montrer différents types de familles et en ça je trouve l’article particulièrement touchant et bien fait, il atteint son but.

  • Emmanuellelila 8 mai 2015, 3:32

    Ce post est formidable d’amour et de tolérance.
    Aimer son enfant inconditionnellement ne veut pas dire qu’on n’a pas eu des moments de doutes, des moments d’ énervements, des moments d’angoisse, cela veut juste dire qu’on ne retient que les bons côtés et qu’on admet que notre imperfection lui sera peut être utile.
    Je n’ai pas aimé ma grossesse, le père de ma fille m’a quitté, je ne fais pas tout bien, elle n’est pas parfaite, elle me saoule parfois (elle est ado), mais je ferais tout ce que je peux pour lui apporter du bonheur.

    Bises Garance et que tu trouves ta propre voie

  • This was beautiful and inspiring!

  • Garance, you are amazing. You and your blog, you are such an inspiration !

  • Thank you for this wonderful article. As a single mother of two young girls….living in Los Angeles….running a fashion business….I never know what life has in store for all three of us. Our love is the glue that holds our family together….even if our family looks different from other families.

    http://thedecohaus.com/

  • mademoiselle mauve 7 mai 2015, 2:16 / Répondre

    ce post est superbe ! merci !

  • Katherine Fleming 7 mai 2015, 3:10 / Répondre

    As John Lennon said so perfectly, « Love is the answer. And you know that for sure ».

  • Thank you for this story Garance. Like Samira, I don’t have the urge to experience pregnancy. I’ve always joked (Ok, it;s a very bad one but it reflects how I feel) that if I could only go to Selfridges and get a baby there I wouldn’t mind having three. Everyone around me keeps saying that adopted children have issues but looking at Samira & Lex, that somehow doesn’t ring true.
    Ana
    http://www.champagnegirlsabouttown.co.uk

  • Très joli post. Je suis aussi – à 35 ans- en plein questionnement sur la maternité, le changement de vie que cela impose, les responsabilités immenses et les dangers aussi. pourtant je suis en couple stable depuis très longtemps. Comme quoi la réponse est souvent très personnelle avant d’être une réponse de couple. Il faut sentir le désir, l’envie d’ouvrir un nouveau chapitre de notre vie et sûrement un peu (beaucoup) de lâcher prise.
    certaines regrettent sûrement d’avoir franchi le pas… et on n’en parle jamais…. Ici ce sont de très belles histoires, certainement un peu idéalisées, mais très belles.
    J’attends d’être dans un état d’esprit où j’aurais accepté de mourir un peu à mon moi-même d’aujourd’hui pour devenir autre chose, sûrement plus grand et plus empathique, oui.
    Ton chemin, Garance, tu sais où il est il me semble. ça doit juste mûrir :)

  • je me méfiais du sujet et j’adore les 2 premiers témoignages, tellement vivants, et surtout pas conventionnels !
    Pour mon cas, je croyais avoir toujours voulu avoir des enfants. Je suis instinctivement maternelle, ainée de mes frère-soeur-cousins-cousines, de tous quoi et des 2 côtés de la famille, et tous je les ai pris sous mon aile. Je me sentais responsable, plus responsable que les adultes. Vers 20 ans, on me disais que je ferai une super mère (tant des mecs que des enfants). Quand j’ai eu la relation et l’âge d’en faire, je n’ai pas réussi. Et tant mieux car en vrai je n’en veux pas : je ne souhaite pas de grossesse, je ne souhaite pas vivre ce que vit un parent. J’adore les petits humains car ils ne sont pas encore « salis » par la société etc. Mais les réunions de parents d’élèves, le voir revenir avec des relations chelous, se taper l’adolescence… bref pas pour moi ! Mais tu sais quoi ? Je dois quand même faire le deuil de ne pas devenir mère, de ne pas porter d’enfant et de ne pas connaitre cette relation presque fusionnelle (non non il fat pas je sais) et unique. Dès que ma soeur est enceinte et proche d’accoucher, paf je pleure mon deuil. Et pourtant c’est un choix !

  • The couples mother and child are amazing. They are shining, you can see it on their faces, that’s pure happiness. Amazing.

  • Lovely pics!
    Passa a trovarmi VeryFP

  • Garance,

    Thank you for sharing your experience, your thoughts and this beautiful profile of moms. It’s important for women today to know that there is not just one way to have a family. We have so many options, as opposed to the pressure of the sole « traditional » family unit. Everyone’s journey is unique and valid.

    I wish you continued success in life, love and happiness!!!

    XO,
    belle BRUT

    http://bellebrut.tumblr.com/tagged/sketchbook
    http://www.bellebrut.com

  • J’adore ces 3 portraits ! Bonne fête des mères à toutes <3
    Baci, Ali, #mumtobe
    http://www.alidifirenze.fr

  • Très beau poste, j’ai beaucoup aimée. Si j’aime quelque chose par dessous dans la vie, c’est d’être mère. J’ai une très belle relation avec ma fille qui a maintenant 23 ans. Être la mère d’un enfant surdoué c’est un grande plaisir et une chance inouï. Ne penser pas que tout est rose … elle aussi a était une adolescente … et quelle…
    Je vous souhaite a toutes une Joyeuse fête de mères !!!!
    xxx

  • Barbara Pióro 7 mai 2015, 4:25 / Répondre

    Génial ce post, et merci beaucoup de présenter la vision de famille de cette façon, et encore pour la fête des mères. Moi-même j’ai été élévée par deux femmes, dans des conditions totalement bizarres à l’époque et l’endroit où je grandissais, et je sais trop bien que tous les schémas traditionnels ne veulent rien dire. On est des êtres compliqués, à multiples facettes, très difficile alors d’entrer dans des rôles préfabriqués. Comme vous avez dit: ce qui compte c’est l’amour, et encore – si on savait ce que cela peut bien vouloir dire, l’amour;) Merci!

  • Great post! I loved reading all the different interviews. Super cute pictures too.

    The Office Stylist
    http://www.theofficestylist.com

  • Clotilde 7 mai 2015, 4:37 / Répondre

    Marie, pourquoi vous imaginer que « certaines regrettent sûrement d’avoir franchi le pas…et on n’en parle jamais ? »
    Avoir des difficultés, souvent temporaires, et regretter d’être devenue mère, ce sont deux choses extrêmement différentes !
    Je ne dis pas que ça n’existe pas de regretter, mais pour ma part, je connais tellement de femmes qui avaient peur de franchir le pas et qui en sont ravies, ou au moins, qui abordent leur nouveau rôle de mère avec le plus grand naturel.
    Parce qu’un bébé, un enfant, ce n’est pas du tout comme un amoureux. Un enfant, même s’il est super pénible, même s’il est très fatigant, même si le papa n’est pas idéal ou absent, c’est très très très rare de le regretter, parce qu’il vient de nous et que ça créé des liens juste indescriptibles et inaltérables. Il y a dans l’immense majorité des cas, beaucoup plus de positif que de négatif.

  • Merveilleux article. Parce que le véritable cadeau c’est de revendiquer notre part unique. Quelle soit dans notre vécu, notre cheminement intérieur ou ces moments petits d’exceptions du quotidien qui n’appartiennent qu’à nous.
    J’aime à croire qu’il n’y a pas de bonne route. Juste des chemins enrichissants, avec leurs différences.
    Merci pour cette jolie lecture.

  • Murielle 7 mai 2015, 5:21 / Répondre

    Très beau témoignages.
    Le tout est de savoir si on fait un enfant parce que l’envie est vraiment là ou bien si on le fait pour suivre un schéma qu’on nous impose, couple donc suite logique il faut un enfant. Ou alors parce que certaines personnes disent qu’une femme qui ne fait pas d’enfant n’est pas une « vraie » femme…
    Malheureusement on est dans une société aussi où certaines femmes ont honte d’avouer qu’elles ne veulent pas faire d’enfant car c’est mal vu.

  • What a gorgeous article x well done Garance! Such an important and beautiful perspective on the idea of motherhood!

  • Montana 7 mai 2015, 7:15 / Répondre

    Beautiful inspiring post! This may be one of my favorites, mothers are so overlooked and under appreciated (yet the first to be blamed!). Thank you for this, it made my day!

  • Jane with the noisy terrier 7 mai 2015, 8:03 / Répondre

    As we discussed when Petey and I dropped by the Studio, I never felt that I must have children, and I always knew I wouldn’t want to raise a child on my own without a husband (still waiting for TBD to show up!) yet I feel incredibly fortunate to have a handful of young men and women in my life who I could not love more had I given birth to them. And that is one of the real blessings in my life.

  • What a great post.

    Also your confession mustn’t have been easy. Bravo !

  • Nothing like being a mother! What counts is the desire and the love, so true. We had our first child immediately and years later got our secondary infertility diagnosis. (Let’s just say, pesticides are to blame, not my age.) After years of failed ivf’s – my ovaries prefer the natural way thank you very much – we are doing embryo donation and adoption, which is an amazing way to create a family! A process completely steeped in love!!

  • This is a beautiful post, Garance and the subject of how families are formed runs so deep. Yes, it is all about LOVE, but interestingly, also very much about TIME and how significant both of these are in the bonds between people. There are 3 movies that portray this magnificently — some of my favorite movies in fact. They are « The Kids Are Alright » which is about family, « Mother and Child » (directed by Rodrigo Garcia) which is about love and time, and « Feast of Love » which is about how people find love.

    I’ll leave you with a terrific quote from an article I found online a few years ago.

    « A pair of 12-year-old girls who discovered they were accidentally switched at birth want to stay with the mothers who have been raising them rather than go to their real parents.

    The girls have grown up just a few miles away from each other in the town of Kopeisk in the Ural Mountains of eastern Russia.

    Their mothers gave birth in the same maternity ward just 15 minutes apart in 1999, and their infant daughters were inadvertently given the wrong name tags.

    Their true identities were revealed after the ex-husband of Yuliya Belyaeva, one of the mothers, refused to pay for child care because his daughter, Irina, looked nothing like him. After conducting several DNA tests it emerged that neither adult was Irina’s biological parent. »

    How much TIME and attention that is given plays a big part in the familial bond.

    Thanks for this post!

  • I never thought I would be so fascinated about other women’s families and how their motherhood began! Someone told me to never expect a fairy tale white picket fence kind of family….and these stories made me think about that!!

    (=’.’=)
    -Lauren
    adorn la femme

  • Merci Garance pour ce très bel article.

  • Beautiful stories. .. when i was in my 20s i wasn’t thinkning about having children but then at the age of 29 it went all the traditional way and i feel blessed now.
    But since then I haven’t stopped wondering what the future brings. My point is : Whether having children or not the question about future always stays the same. So waiting for the unknown is just what we have to deal with. Keep calm and just live the life you love. ..

    http://lifestylebyola.blogspot.com/2015/04/full-family-and-full-skirt.html

  • Thank you for being so honest and open about your personal life. It somehow means a lot.

  • Bonjour Garance,
    C’est la première fois de ma vie que j’écris un commentaire sur un blog. Je suis le votre depuis peu de temps et je suis vraiment bluffée par votre aptitude à ne pas rester dans votre zone de confort … La mode, les likes, la pression sociale.
    Depuis maintenant 2 ans je partage ma vie avec une femme après avoir eu beaucoup de magnifiques relations avec des hommes. Maintenant je suis la plus heureuse du monde et j’ai enfin envie de fonder une famille, avec cette femme. Nous aussi auront recours au don de sperme et notre enfant pourra retrouver son géniteur à sa majorité. C’est important pour nous de lui laisser ce choix. Je voulais vous remercier de parler de toutes ces nouvelles et différentes familles. Je viens moi même d’une famille de 5 enfants avec 3 mères différentes et c’est aujourd’hui ma plus grande force. Nous sommes une tribu même si ca n’a pas toujours été facile.
    Voilà juste merci il y a autant de familles différentes que de bonheur dans la vie.

  • Mrs Love 8 mai 2015, 7:21 / Répondre

    Garance I’ve been following you for years and adore you. I have a 1 year old girl and love nothing more then being her mama. I hope one day you get to experience this feeling and I have no doubt you will be an amazing mama yourself one day. Kiss

  • What a terrific post! Wonderful stories of these wonderful mothers…it doesn’t matter HOW you become a mother, what matters is BEING a mother, if you choose to be one!

  • Etre parents ce n’est pas juste avoir de petits enfants car ceux-ci grandissent et, pour le moment, nous n’avons aucun retour sur les expériences de parentalité « différente ». A mon humble avis, ce n’est pas gagné. Un enfant à besoin de repères, de parents des deux sexes et aussi de stabilité dans sa vie. Alors je reste persuadée que toutes les innovations récentes dont on nous abreuve ne sont pas, du point de vue de l’enfant, un plus pour lui.
    Une chose est sûre : l’amour ne suffit pas et c’est pourtant ce qu’on cherche à nous faire croire.
    Signé : une maman adoptive de quatre enfants majeurs

  • Je suis tellement d’accord avec vous !
    J’ai écrit un commentaire plus bas sur ce que j’ai ressenti en lisant ces lignes…
    J’ai peur que parfois, pour justifier nos propres actes, on se cache derrière l’amour.
    En effet, élever des enfants c’est aimer avant tout. Mais les aimer pour eux, pas pour soi.
    C’est très amusant, c’est au moment où on perd tous ces repères que les médias nous abreuvent de docu, reportages video et photos sur les parents non conventionnels et pourtant tellement heureux… Comme des justification a posteriori.

  • Garance, merci beaucoup pour ce bel article! I’m a french teacher in the US and I had my students read it in class today and they enjoyed it very much. I love having something for them to read that’s more relevant and interesting than their textbook. Also, they loved your blog and appreciated your candor about your personal life and experiences, as do I. Bisoux!!

  • Also, this is my first year as a mother (my daughter is almost 3 months), and it’s the best thing ever to happen to me. I hope someday that you will have the experience, with or without a man!

  • I thought the entry about braids was a delightful surprise, but this post takes the cake. Not only am I inspired by these incredible women, but their unique journey to motherhood has motivated my own maternal desires. I’m a single woman in her mid-thirties with a the hope of becoming a mother someday, but the prospect of finding the right partner to build a life with has grown increasingly difficult. I’ve had to adjust my own perception of how to start a family, so the idea becoming a single parent has been on my radar for awhile. Reading these stories has given me a little more courage to move towards the goal and satisfying the desires of my heart.
    It may not be appropriate for this site, but I would love to know how Samira handles being a single mom as a woman of color. The negativity around this stigma has inhibited my confidence about going it alone. But all in all, great post.

  • Superbe article, vraiment très touchant. C’est rare d’aborder le sujet de la maternité sur les blogs de cette façon, donc merci beaucoup ! Et bien sûr, il n’y a pas une mais des millions de façon d’être parents !

    http://www.pardonmyobsession.com/

  • Sometimes women also break up with their partners because they realise, afer years (their prime ‘reproductive’ years…) of denial, that guy they’re with doesn’t want to have children..what do you do, what is stronger, the love for the partner, or the love for the theoretical child?

  • Super post, mais une question me brûle les les lèvres toi tu souhaites la fonder quand et comment ta propre famille ?
    J’ai cette impression qu’avoir un enfant parfois ça ne se décide pas vraiment c’est un peu comme l’amour, ça vous tombe dessus il faut juste être ouvert à toutes le opportunités que la vie peut offrir. Moi j’ai eu mon petit garçon qui a maintenant 16 mois alors que j’était étudiante, je révisais pour mon CAPES entre deux nausées. Mais en même temps savoir que la vie était en train de grandir en moi était un soutient de plus pour réussir dans ma vie professionnelle. Du coup réussir mon examen c’était réussir pour lui et aussi avec lui (forcément vu que ce petit haricot me suivait partout!)

  • Dear Garance, thank you for this. I am really touched by your post. I am 39 and it feels like me and my man came to the end of our journey together. I am grateful we have a wonderful child together, it is the best in the whole world and even though we might each go our way, I will always be my child’s mama and that I will forever be thankful for, also to him. All the best to you, Patti

  • thank you for sharing your vulnerability. we all desire and need love . . . love of oneself is essential (and often a work in progress). happiness is an inside job. i thoroughly enjoy your blog, your creative sensibility, the honesty, the truth of you, that is the foundation of what you offer to your followers. wendy.

  • 2 famous mom’s: The Sound of Music mommy/nanny Julie Andrews played and then there’s the « other »…..the wicked one like the one Faye Dunaway played in Mommie Dearest. Which one are you? lol When I was just a little girl
    I asked my mother, What will I be? Will I be pretty? Will I be rich? Here’s what she said to me: Que sera, sera
    Whatever will be, will be The future’s not ours to see Que sera, sera What will be, will be. Happy Mother’s Day!

  • Frida Kahlo 11 mai 2015, 2:42 / Répondre

    Très beau reportage..Peace and LOVE

  • Merci pour ce billet plein d’amour et libérateur !!
    Il n’y a pas une famille mes des familles, mais c’est parfois tellement dur de ne pas être dans la norme …
    alors merci :)

  • <3

  • C’est très beau de parler tout le temps d’Amour mais à la lecture de ces entretiens, je suis carrément effrayée…
    Bizarrement, en lisant ces lignes, je ne ressens que de l’égoïsme et une manière très puérile d’aborder la maternité.
    Je suis sans doute complètement has been mais je pense qu’avoir des enfants, on ne le fait pas pour soi mais pour eux et que toutes belles choses qu’on lit ici, ce sont surtout des justifications…

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