La derni\u00e8re fois je descendais la rue Charlot, qui est<\/span> \u00e9tait<\/em> (non parce que qu\u2019\u00e0 mon avis avec cette histoire de Starac \u00e0 la rentr\u00e9e<\/a> \u00e7a risque de changer) ma rue pr\u00e9f\u00e9r\u00e9e pour aller de chez moi direct \u00e0 mon hamburger pr\u00e9f\u00e9r\u00e9, celui du Caf\u00e9 Charlot. (Merci \u00e0 vous, dans quelque piscine du Sud que vous soyez, Hianta<\/a> et Diane<\/a>, de m\u2019avoir montr\u00e9 \u00e7a. Ma balance, elle aussi, vous remercie. Au passage.)<\/p>\n
Je pousse un cri. C\u2019est exactement ce qu\u2019il me faut maintenant tout de suite, je veux du cuir<\/a>, j\u2019en ai marre de l\u2019\u00e9t\u00e9, on s\u2019habille tous n\u2019importe comment tellement il fait chaud (moi la premi\u00e8re loin devant tout le monde), nos spartiates commencent \u00e0 prendre une couleur douteuse et on veut pas en racheter parce qu\u2019on pense d\u00e9j\u00e0 aux\u2026 Hum. Vous verrez tr\u00e8s vite \u00e0 quelles chaussures je pense tr\u00e8s fort\u2026 Tr\u00e8s, tr\u00e8s vite.<\/p>\n
Bref, juste \u00e0 c\u00f4t\u00e9 je vois ce pull, et je me dis qu\u2019il faut que je vous montre \u00e7a. Anita me dit quand tu veux (Anita est cool), et je pense imm\u00e9diatement \u00e0 Margaux<\/a>, c\u00e9leste et adorable Margaux, d\u00e9sormais copine que vous risquez de retrouver souvent sur ce blog tellement c\u2019est un pur bonheur de la prendre en photo.<\/p>\n