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Spartiates, inspir\u00e9es de\u2026 Ben, euh, tout le monde.<\/em><\/p>\n
Mars : Toulouse, je d\u00e9couvre avec ravissement chez D\u00e9partement F\u00e9minin<\/a> les spartiates Giuseppe Zanotti. Je me demande quelle banque je vais pouvoir braquer pour me les offrir, puis je me dis qu\u2019on est en mars, que j\u2019ai le temps de r\u00e9fl\u00e9chir. Il fait encore froid.<\/p>\n
Je rentre \u00e0 Paris, et je vois MES spartiates partout. Dont des bien jolies, en gris, et le gris est ma cou\u2026<\/a> Oui bon, vous savez, pas ch\u00e8res du tout chez Andr\u00e9. Mais.<\/p>\n
Mai : il fait chaud (bon, il faisait. Si si, souvenez vous). Les seules choses ouvertes que j\u2019ai sont mes 350 paires de spartiates \u00e0 talons<\/a>, mais le \u201c\u00e0 talons\u201d, l\u2019\u00e9t\u00e9 en ville, devient vite un truc glissant.?J\u2019ausculte TOUTES les boutiques de Paris pour trouver du plat, mais je ne trouve rien d\u2019autre que : des spartiates. Rien d\u2019excitant, rien de neuf, rien de troublant. Sur mon parcours du combattant, bien entendu, je succombe pour quelques mod\u00e8les l\u00e9g\u00e8rement originaux. Sympa, oui. Mais aucun ne me donne cette impression de d\u2019\u00eatre MA chaussure de l\u2019\u00e9t\u00e9.<\/p>\n
I\u2019m not like everybody else. I\u2019m just slightly un peu plus une andouille.<\/p>\n
\u2014\u2014\u2014\u2014\u2014\u2014\u2014-<\/p>\n