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Quel voyage extraordinaire l’Australie. J’ai vraiment l’impression de marcher la t\u00eate en bas. Ici c’est l’automne, vous savez ? Comme recommencer un cycle que l’on n’a pas encore fini. Et puis il y a l’incroyable jetlag, et le voyage, si loin, si long, qu’on a beau vouloir rester toujours connect\u00e9, on laisse un peu de soi dans les airs. Et en fait, \u00e7a fait un bien fou.<\/p>\n
Je suis partie mardi, j’ai atterri jeudi, et j’ai mis encore deux jours \u00e0 raccrocher les wagons, les yeux grands ouverts sur tout ce qui se passait autour de moi. Les rues cin\u00e9matographiques de Melbourne. Les vieilles voitures qui te font oublier ton \u00e9poque. Les nuits sans sommeil \u00e0 refaire le monde en \u00e9coutant le vent dans les arbres. Et les fringues. Un centre ville sans Zara, sans H&M. Et des tas de cr\u00e9ateurs que je ne connaissais pas.\n<\/p>\n
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Comme Willow<\/a> par exemple, (photo ci-dessus), ou comme Arnsdorf<\/a>, dont j’ai crois\u00e9 la cr\u00e9atrice, Jade (premi\u00e8re photo) ce week-end.<\/p>\n
Comment ils disent ici ? Easy ?<\/em> Huuuumm…<\/p>\n
All right ! \u00c0 demain !<\/p>\n