Comme le disait r\u00e9cemment le tr\u00e8s juste papier d’H\u00e9l\u00e8ne<\/a>, un seul physique un seul look, ces derni\u00e8res ann\u00e9es, la mode s’est tellement d\u00e9mocratis\u00e9e que pour \u00eatre originale il faut se lever t\u00f4t. Pendant longtemps, ils suffisait de conna\u00eetre quelques petites adresses, de lire deux trois parutions pointues, et on pouvait arborer cet air satisfait de la fille \u00e0 qui on ne la fait pas.<\/p>\n
Mes deux pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s (pour les rares qui ne les conna\u00eetraient pas :-) : The Sartorialist<\/a>, le chic new-yorkais, et Face Hunter<\/a> le glam’ parisien, chez qui on trouve en bonus une liste de la plupart des hunters de la plan\u00e8te.<\/em><\/p>","protected":false},"excerpt":{"rendered":"