J’\u00e9tais tranquille chez Vogue<\/a> en train de d\u00e9tailler les collections de l’\u00e9t\u00e9, quand soudain mon \u00e9cran a \u00e9t\u00e9 envahi par Kate Moss. Accroupie devant mes yeux, elle me regardait d’un air sensuello-absent (sa marque de fabrique) et portait une paire d’immondes bottes Dior, \u00e0 mi chemin entre les tiags de Johnny et les platform de Marilyn Manson.<\/p>\n
Indign\u00e9e par tant de mauvais go\u00fbt, je me suis mise \u00e0 enguirlander mon ordi.<\/p>\n
Kate, tu en fais trop. C’est quoi, ton d\u00e9lire? T’en mettre plein les poches pour ensuite pouvoir te planquer tranquille avec Pete en Colombie? Prouver au monde que tu vas bien et que Burberry, qui t’avais l\u00e2ch\u00e9e apr\u00e8s que tu ai entrepris de passer l’aspirateur<\/a> dans les studios de Pete, peut bien aller coudre des trenchs en chine? (et revenir ramper \u00e0 tes pieds une fois l’orage transform\u00e9 en poule aux oeufs d’or?)<\/p>\n
Ah, et puis souris des fois, j’adore ton sourire.<\/p>","protected":false},"excerpt":{"rendered":"