J\u2019ai toujours \u00e9t\u00e9 du genre \u00e0 endurer de mauvaise gr\u00e2ce le r\u00e9veillon du Nouvel An en attendant que \u00e7a s\u2019arrange – avec le 1er janvier.<\/p>\n
Le r\u00e9veillon est plein de paillettes et de champagne en quantit\u00e9s superflues, \u00e7a me stresse. Je n\u2019aime pas ce d\u00e9compte – pas seulement les dix secondes avant les 12 coups de minuit – toute la journ\u00e9e avant. Il y a quelque chose dans le fait de marquer aussi clairement le passage du temps qui me rend un peu malade. En gros, je n\u2019aime pas qu\u2019on me rappelle ma mort prochaine quand j\u2019essaie de vivre \u00e0 fond dans une robe qui brille<\/a>. <\/p>\n Mais qu\u2019est-ce que j\u2019adoooooore le 1er janvier. C\u2019est comme No\u00ebl, mais sans la famille<\/a>! On peut tra\u00eener, faire cuiree des oeufs<\/a>, soigner sa gueule de bois et m\u00e9diter sur la nouvelle ann\u00e9e, pleine d\u2019infinies possibilit\u00e9s.<\/p>\n A l\u2019Atelier, nous avions envie de capitaliser sur ce sentiment de possibilit\u00e9 infinie en faisant un peu d\u2019introspection avec le mois de la D\u00e9couverte de Soi\u2026 parce que c\u2019est l\u00e0 que naissent toutes les possibilit\u00e9s.<\/p>\n