Froufrous et volants, deux \u00e9l\u00e9ments que j\u2019avais jusqu\u2019ici bannis de ma garde-robe, en toute franchise… trop connot\u00e9s bal de fin d\u2019ann\u00e9e, folklore et premier degr\u00e9 !<\/p>\n
Mais j\u2019ai comme devise \u00ab Ne jamais dire jamais \u00bb, et la fa\u00e7on dont Anahita<\/a> s\u2019\u00e9panouit avec moult volants vaporeux vient un peu d\u00e9monter toutes mes certitudes et r\u00e9ticences en la mati\u00e8re.<\/p>\n <\/p>\n Avec les ann\u00e9es, il m\u2019arrive de plus en plus souvent de revenir sur des jugements un peu p\u00e9remptoires. Comme pour la couleur rose<\/a> ou les plats sal\u00e9s-sucr\u00e9s, que je n\u2019ai pas encore compl\u00e8tement adopt\u00e9s. J\u2019ai aussi r\u00e9cemment coup\u00e9 mes cheveux<\/a> pour adopter un style \u00ab \u00e0 mi-chemin entre Anna Wintour<\/a> et une petite fille de quatre ans \u00bb et je me surprends \u00e0 choisir des looks un peu plus d\u00e9licats et f\u00e9minins pour contrebalancer ce soudain minimalisme capillaire.<\/p>\n Donc, froufrous, peut-\u00eatre ! L\u2019\u00e9quilibre parfait de la f\u00e9minit\u00e9 volant\u00e9e associ\u00e9e \u00e0 la fonctionnalit\u00e9 graphique des Vans d\u2019Anahita<\/a> me parle vraiment. Qui aurait cru que je r\u00eaverais un jour de traverser l\u2019\u00e9t\u00e9 new-yorkais dans un tourbillon vaporeux ? Pas moi en tout cas. C\u2019est pour \u00e7a que ma devise ne m\u2019a jamais d\u00e9\u00e7ue.<\/p>\n Chemise, Reformation<\/a> ; Jupe, Houghton<\/a> ; Chaussures, Vans<\/a><\/em><\/p>\n