<\/p>\n
Les filles, c’est un drame. Je n’\u00e9tais pourtant all\u00e9e en Corse que dans un but, la mode pr\u00e9valant chez moi comme chez Karl Lagerfeld \u00e0 tout amour filial, je n’\u00e9tais all\u00e9e en Corse que dans un seul but donc : celui de chasser la Moncler<\/a>, esp\u00e8ce menac\u00e9e de disparition il y a peu et qui, gr\u00e2ce \u00e0 un sauvetage \u00e0 coups de cr\u00e9ateurs hypissimes, est devenue en l’espace de deux ans une esp\u00e8ce en voie de prolif\u00e9ration. Inqui\u00e9tante.<\/p>\n
Ma m\u00e8re qui, l\u00e9g\u00e8rement exasp\u00e9r\u00e9e de mes moqueries et de mes revirements fashion intempestifs, \u00e0 l\u00e2ch\u00e9 avec malice : \u00ab\u00a0La Moncler ma ch\u00e9rie ? Mais voyons, Martine<\/a> me l’a emprunt\u00e9e il y a deux ans. La Moncler se balade sur la C\u00f4te d’azur ma ch\u00e9rie. Tu f\u00eates quand m\u00eame No\u00ebl avec nous ou je te d\u00e9pose \u00e0 l’a\u00e9roport ?\u00a0\u00bb<\/p>\n
Arf. M\u00eame en famille, je vous le dis. There are no teams.<\/em><\/p>\n
Martine m’a donc grill\u00e9 la priorit\u00e9, et elle a eu bien raison parce que :<\/p>\n
Comment \u00e7a je dis \u00e7a pour me rassurer ?<\/p>\n