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Il m’en faut du temps pour comprendre les sous-couches de l’underground de la garde-robe de ma m\u00e8re<\/a>. \u00c0 chaque fois que je pense que je l’ai d\u00e9finitivement pill\u00e9e<\/span> j’en ai fait le tour, une nouvelle pi\u00e8ce que j’avais mise de c\u00f4t\u00e9 avec un air irrit\u00e9 \u00ab\u00a0\u00e7a, c’est vraiment trop moche\u00a0\u00bb me revient \u00e0 la figure.<\/p>\n
Une doudoune \u00e0 boudins luisants. Une Moncler<\/a>. Mais quelle femme sens\u00e9e voudrait aller se coller des bourrelets d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment ?<\/p>\n
Celle dont je me moque donc depuis 20 ans.<\/p>\n