Pardon Punky<\/a>. J’avais pourtant bien lu ton dernier billet<\/a>, jet\u00e9 sur la toile juste avant de courir attraper ton train, des Isabel Marant \u00c9toile dans les yeux.<\/p>\n
\u00ab\u00a0Pfuuu, c’est mal fini\u00a0\u00bb,<\/p>\n
\u00ab\u00a0Cette blouse? Ouais, pas mal. Mais tu l’as d\u00e9j\u00e0 non?\u00a0\u00bb<\/p>\n
\u00ab\u00a0Tu vas pas acheter un truc chez Manoush?\u00a0\u00bb<\/p>\n
\u00ab\u00a0Khiels? Pffffu, mais c’est satur\u00e9 de paraben!\u00a0\u00bb<\/p>\n
Et pourtant nous l’avions, notre arme fatale, j’ai nomm\u00e9 l’irr\u00e9stistible Balibulle<\/a>, notre shoppeuse effr\u00e9n\u00e9e en chef. Vous aurais-je contamin\u00e9e? A-t-on manqu\u00e9 de temps? As-tu mang\u00e9 trop de noix chez Jour? La rentr\u00e9e ne nous inspire-t-elle tout simplement pas?<\/p>\n
Ce qui est sur, c’est que le soir, en rentrant chez nous, nous nous sentions orphelines.<\/p>\n