Hy\u00e8res, c’\u00e9tait tellement bien que je \u00e7a m’a rendue un peu shizo. D’autant plus qu’\u00eatre entour\u00e9e de deux G\u00e9raldine (Caf\u00e9 Mode<\/a> et Punky b<\/a>), si d\u00e9licieuses soient elles, ne m’a pas aid\u00e9 \u00e0 avoir les id\u00e9es claires. Voici comme promis le compte-rendu, mon dieu c’est long oui je sais, mais apr\u00e8s, jur\u00e9, plus un mot sur Hy\u00e8res. Comment \u00e7a croiser les doigts ne compte pas?<\/p>\n
– Le festival : Gros coup de coeur au d\u00e9fil\u00e9 d’hier soir : Peter Berstch, dont les silhouettes \u00e9tranges et organiques<\/a> le mettent direct en orbite sur mon palmares perso. Il faut que je le rencontre, mais c’est l’irr\u00e9sistible Sandra Backlund qui nous tombe dans les bras. Ses variations en volume sur la maille<\/a> ont conquis tout le festival, et son charme finit de me convaincre qu’elle a d\u00e9finitivement une carte \u00e0 jouer ici. A la villa, le people commence \u00e0 arriver, et notamment Julie Gayet, l’une de mes idoles de style, avec sa beaut\u00e9 et ses sabots<\/a>, des Dansko<\/a>, qui sont en passe de devenir le fashion frisson de ce festival.<\/p>\n