Atelier Doré

Depuis trois ans, j’ai réussi à vivre au rythme du soleil, en pourchassant le printemps et l’été sur les hémisphères, de l’Australie à la Nouvelle-Zélande en passant par Bali et New York (oui, je fais partie des rares personnes qui aiment la moiteur new-yorkaise du mois d’août). Ça m’a donné une certaine légèreté, une bonne réactivité, et je me sens en super forme… j’ai toujours le teint hâlé, les cheveux légèrement décolorés par le soleil et je ressens une chaleur intérieure. Mais cet hiver, j’ai sauté le pas et déménagé à Brooklyn en plein hiver, me promettant que j’arriverais à conserver un peu de soleil en moi malgré le blizzard, le chauffage qui assèche la peau et le cruel manque de lumière. J’ai essayé les saunas infra-rouge, les compléments de vitamine D, et je continue à faire du vélo dès que les températures repassent au-dessus de zéro.

Et puis j’ai découvert un petit flacon miraculeux qui m’a aidée à sortir de l’hiver bien moins rouillée et desséchée que d’habitude. L’huile visage + corps + cheveux Activator 7 de Sans [ceuticals] est bourrée d’ingrédients hyper actifs (des plantes comme le baobab, l’écume des prés et l’huile d’onagre) et une forme légère de vitamine A, boostée pour être plus efficace. La vitamine A pour le corps, ça change tout ! Une découverte à base d’ingrédients naturels qui nous vient de Nouvelle-Zélande. La créatrice Lucy Vincent s’est associée avec des chercheurs et biologistes cellulaires pour mettre au point une ligne qui soigne le corps et les cheveux, comme on soignerait le visage. J’en applique généreusement sur ma peau humide en sortant de la douche pour faire le plein de lipides (conseil de pro), je me démaquille avec, j’en mets sur mes pointes de cheveux desséchées et je m’en sers aussi comme crème dépilatoire. La marque propose un système de diagnostic personnalisé, qui permet, à chaque saison, de trouver les produits les plus efficaces pour votre profil. J’ai prévu de l’essayer pour venir à bout des maux de l’été … eau salée, pollution, soleil, je suis parée !

par Natalie Shukur