Leçons d’étiquette : Les ventes privées
9 years ago by
Les ventes privées, c’est toujours dingue.
En tout cas, elles rendent les gens vraiment Dingues, avec un « D » majuscule.
On les adore … et on les déteste. On adore les détester.
C’est l’occasion d’acheter des pièces sublimes à des prix cassés (ça, c’est ce que j’adore). Mais ça peut aussi métamorphoser des femmes adorables, bien élevées et normales en harpies prêtes à tuer pour avoir cette robe ou ces chaussures-là.
Il y en avait une, l’autre jour, et la scène était hallucinante. J’ai raconté à mes amies que c’était le Far West, finalement : pas de règles, tout est permis, tout le monde sort les griffes et que le meilleur/la meilleure gagne !
Elles m’ont répondu que les règles pour Fight Club une vente privée étaient les suivantes :
1. Ne jamais reposer quelque chose qu’on a prévu d’acheter (sinon, tout le monde se jette dessus, normal)
2. Il n’y a pas d’autres règles.
Moi, ça me fait penser à Sa Majesté des mouches.
Il ne devrait pas y avoir quelques règles élémentaires de courtoisie ? Une forme d’étiquette ?
Ou alors est-ce que l’hystérie et les empoignades de sacs à mains, c’est justement le principe d’une vente privée ?
Aidez-moi !
haha I love this! Sample sales are intense and I love them!
http://hashtagliz.com
Whenever I’m in New York, I try to go to a sample sale; we just don’t have them here in San Francisco, so I feel like I’m getting a truly local experience. :P I would add another rule to your rulebook which is: GET THERE EARLY. Like, call in sick to work, take the day off, early, otherwise most of the worthwhile stuff will be gone. Since I’m not really willing to follow that rule, I haven’t had much luck at sample sales…
If I go into a sample sale, it is always after the first four hours they’ve opened, because that’s when change rooms are actually available, and all the Crazy ladies(often with their crying children, poor kids) and Crazy men have left. I’d rather wait to find something in my size and get it at a good price and have a pleasant experience, than fight for my clothes. Although I adore clothes, shoes, bags and jewellery, I also would rather go without than have to battle to reach for items through the invariably mad throngs of grabbing hands. Perversely, I also like seeing what’s left after the initial (piranha like) frenzy: and, one hundred per cent of the time, despite half the stock having been already devoured, I’ve always come home with the most amazing stuff that’s exactly in my size.
My philosophy is, « What I don’t see, I don’t want ».
LEÇONS D’ÉTIQUETE : LES VENTES PRIVÉES = Etiquete ? avec un seul t ?
Mais sinon j’aimerais très fort qu’il y ait quelques règles élémentaires de courtoisie lors des ventes privées. Pour ce que j’ai pu en voir à Paris, cela n’existe pas. Aucune limite, les gens se déshabillent en deux secondes entre deux portants, et n’hésitent pas à te bousculer…